Lumières
Si avec l’arrivée de l’hiver et les jours qui raccourcissent, l’éclairage est plus que jamais un sujet d’actualité, soulignons qu’il participe de notre confort quotidien quelle que soit la saison.
Pour les équipes de Liaigre, la lumière est partie prenante d’une réflexion autour du projet et du principe de sur-mesure. Au fil du temps, le studio de création a imaginé un grand nombre de luminaires répondant à tous les usages : suspensions, appliques, lampadaires, lampes de tables qui éclairent et embellissent nos intérieurs.
Si avec l’arrivée de l’hiver et les jours qui raccourcissent, l’éclairage est plus que jamais un sujet d’actualité, soulignons qu’il participe de notre confort quotidien quelle que soit la saison.
Pour les équipes de Liaigre, la lumière est partie prenante d’une réflexion autour du projet et du principe de sur-mesure. Au fil du temps, le studio de création a imaginé un grand nombre de luminaires répondant à tous les usages : suspensions, appliques, lampadaires, lampes de tables qui éclairent et embellissent nos intérieurs.
Penser et organiser la lumière dans les différents espaces de vie est au centre de tout projet architectural : question certes d’aménagement, mais aussi de parti-pris… Répartir les sources lumineuses en fonction des nécessités, offrir plus ou moins d’intimité, créer une atmosphère propice au travail ou aux échanges, et surtout aborder chaque lieu (maison, appartement, villégiature, yacht) et chaque espace, de manière singulière tout en tenant compte des désirs de l’utilisateur.
L’éclairage joue un rôle capital dans la perception que nous avons de nos intérieurs, il influe sur nos émotions, nos ressentis : une lumière douce dans une chambre,
un coin lecture ou un bureau, apaise et donne une sensation de confort ; tandis qu’une lumière éclatante dans une pièce de réception crée une atmosphère festive…
À l’opposé, l’intérieur le plus élégant perd de son attrait si l’éclairage n’est pas satisfaisant. L’exercice s’avère délicat car il ne suffit pas de multiplier les points de lumière pour être harmonieusement éclairé. Une fois encore, il faut parvenir à un équilibre et savoir créer des articulations d’un espace à l’autre.
Penser l’éclairage d’un lieu c’est le mettre en scène : magnifier l’espace ou en faire un cocon chaleureux, jouer sur des effets de clair-obscur pour théâtraliser l’architecture, en tenant compte des tonalités des murs, sols, plafonds, des couleurs dominantes,… Il faut également anticiper l’alternance lumière du jour (lumière naturelle) et éclairage artificiel, et tirer parti de ces deux ambiances radicalement différentes. Chaque pièce de la maison requiert son éclairage particulier, mais aussi chaque type d’habitat en fonction de son implantation : l’atmosphère d’une maison de ville n’est pas celle d’un chalet en montagne, ni celle d’une résidence au bord de l’eau, encore moins celle d’un yacht ! Le climat, la luminosité naturelle, entrent en compte dans cette réflexion. Le choix d’un type de luminaire revêt donc toute son importance ce dont attestent les différentes réalisations de Liaigre aux quatre coins du monde… Le plus souvent les luminaires (à l’exemple des différents éléments de mobilier créés par le studio) naissent dans le contexte particulier d’un projet architectural avant d’être édités.
Torches, lampes à huile, chandelles, candélabres, lampes à pétrole, jusqu’à l’avènement de l’électricité et des premières ampoules, s’éclairer a longtemps constitué un challenge et une difficulté avec laquelle les individus ont dû négocier. Dès l’antiquité, la plupart des objets usuels attestent d’une recherche esthétique : les artisans cherchent à réaliser de beaux objets d’éclairage et imaginent notamment des candélabres et suspensions en bronze pour décorer les demeures patriciennes étrusques et romaines. Cette quête de beauté traverse l’histoire et les XVIIème et XVIIIème siècles rivalisent d’élégance : lustres et girandoles sont ornés de pampilles de cristal de roche ou de verre taillé, tandis que les verriers vénitiens de Murano magnifient le verre soufflé dans toutes ses tonalités pour habiller les plafonds des palais de la Sérénissime. Ce répertoire de formes n’aura de cesse de s’enrichir durant tout le XIXème siècle pour aboutir au XXème siècle à la plus grande diversité de propositions.